Dessine-moi un mur
Dessine moi un mur par : Maya GHANDOUR HERT
Pour promouvoir l’art comme moyen de communication et faire tomber les murs, l’association AIN (Alternative Intitiative Network) a commencé par les peindre avec l’aide d’enfants des villages sudistes de Alma ech-Chaab et Bint Jbeil, sous les directives d’artistes venus de San Francisco.
C’est l’histoire de jeunes gens qui souhaitent faire bouger les choses, mais, disent-ils, « d’une manière inhabituelle, anticonventionnelle ». Eux, ce sont Nasser Ajami, Lara Captan et Rana Taher. Leur but est de créer un espace pour le dialogue à travers l’art. Initier les jeunes à la culture de non-violence et à la communication avec l’Autre.
« L’art est le meilleur outil de dialogue, on ne se perd pas dans les idéaux et les paroles. Il y a du concert dans l’art. Il y a de l’amusement dans l’art aussi », note Lara Captan.
Ayant œuvré pour de nombreuses ONG, Ajami a décidé de prendre un chemin de traverse. Il connaît Captan pour avoir réalisé avec la designer des tee-shirts et des affiches dénonçant la guerre, notamment celle de juillet 2006. Lara enseigne au département de graphic design de l’AUB. « Nasser m’a appelée en septembre 2008 me disant qu’il avait un projet en tête, celui de créer une association visant à promouvoir l’art et la culture comme outils d’expression alternatifs par rapport aux jeunes Libanais. »
La jeune femme attrape l’occasion au vol, d’autant plus qu’elle commençait à se lasser des interminables discussions à refaire le monde sans prendre aucune initiative concrète. Elle passe finalement à l’action. En novembre, l’association devient officielle. En janvier 2009, AIN réalise la première étape de son premier projet.
Pour promouvoir l’art comme moyen de communication et faire tomber les murs, l’association AIN (Alternative Intitiative Network) a commencé par les peindre avec l’aide d’enfants des villages sudistes de Alma ech-Chaab et Bint Jbeil, sous les directives d’artistes venus de San Francisco.
C’est l’histoire de jeunes gens qui souhaitent faire bouger les choses, mais, disent-ils, « d’une manière inhabituelle, anticonventionnelle ». Eux, ce sont Nasser Ajami, Lara Captan et Rana Taher. Leur but est de créer un espace pour le dialogue à travers l’art. Initier les jeunes à la culture de non-violence et à la communication avec l’Autre.
« L’art est le meilleur outil de dialogue, on ne se perd pas dans les idéaux et les paroles. Il y a du concert dans l’art. Il y a de l’amusement dans l’art aussi », note Lara Captan.
Ayant œuvré pour de nombreuses ONG, Ajami a décidé de prendre un chemin de traverse. Il connaît Captan pour avoir réalisé avec la designer des tee-shirts et des affiches dénonçant la guerre, notamment celle de juillet 2006. Lara enseigne au département de graphic design de l’AUB. « Nasser m’a appelée en septembre 2008 me disant qu’il avait un projet en tête, celui de créer une association visant à promouvoir l’art et la culture comme outils d’expression alternatifs par rapport aux jeunes Libanais. »
La jeune femme attrape l’occasion au vol, d’autant plus qu’elle commençait à se lasser des interminables discussions à refaire le monde sans prendre aucune initiative concrète. Elle passe finalement à l’action. En novembre, l’association devient officielle. En janvier 2009, AIN réalise la première étape de son premier projet.